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Choisir son saute-vent : le bon compromis Choisir son saute-vent : suivre de près Choisir son saute-vent : soigner l’inclinaison !

Épaisseur : Plus le modèle sera haut, plus il devra être épais - et donc rigide - pour ne pas se courber ou vibrer sous l’effet de la vitesse et troubler alors la vision.

Fixation : Quatre points d’ancrage, 2 sur les tubes de fourche, 2 aux pattes de phare ou au guidon, sont préférables à deux, pour ne pas risquer de voir le pare-brise se décrocher dangeureusement sous l’effet de la vitesse. Attention, certains « 4 points » nécessitent un kit supplémentaire (parfois fourni, souvent optionnel) pour s’adapter aux demi-guidons. En acier, l’accastillage de fixation rouille rapidement. L’inox, coûteux, s’accommode des climats humides. Préférer une finition plastifiée pour ne pas marquer le guidon.

Casse : Le jonc entourant le Plexiglas joue surtout un rôle esthétique. Il évite aussi que le pare-brise ne vole en éclats en cas de choc. Les blessures liées à ce genre d’incidents sont rares, les motards étant le plus souvent éjectés en cas d’accident.

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LES MATERIAUX
La grande majorité des saute-vent est en PMMA (polyméthacrylate de méthyle), plus sobrement appelé Plexiglas.
- L’intérêt de ce matériau réside en sa grande transparence et sa résistance honorable aux chocs, rayures et hydrocarbures. Le polycarbonate, utilisé par certains, fait payer au prix fort sa résistance exceptionnelle aux impacts.
- Pas indispensable à moins d’être régulièrement la cible de projection de gravillons.
- Enfin, la fibre de polyester (utilisée par JMV Concept) offre l‘avantage, contrairement aux plastiques précédemment cités, d’être réparable par l’application d’un simple mastic.

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