Même utilité en voyage, mais conception différentes

Sur le modèle Touratech, les sacoches additionnelles se plaquent sur les côtés du volume central. Sur la SW Motech, elles prennent place sous la base qui conserve ainsi sa largeur.
A l’usage, cela se traduit par une plus grande polyvalence de la Touratech qui peut ainsi trouver plus facilement un usage au quotidien urbain là où la SW Motech se montre plus encombrante. Ceci d’autant plus que le système de fixation du Speedpack rend la pose/dépose beaucoup moins rapide que celui du Travel Bag . Reste que le volume de l’élément central du Speedpack, certes moins élégamment profilé que celui de son concurrent s’avère un plus aisé à remplir avec le risque toujours patent d’emporter trop.
La fixation du Touratech limite son universalité aux roadster ou sportives dont la selle passager est de bonne surface (longueur largeur). C’est précisément sous cette selle que viennent se fixer les sangles du porte sac. Une fois la selle refermée à clé le dit porte-sac peut rester sur la moto, lorsque l’on emporte le bagage.

Question de prix

Bien d’autre différences existent entre ces sacs dont l’analyse est publiée dans l’édition de juin de Moto Magazine (N°288 toujours dispo en VPC). Si les deux bagages sont plutôt chers, il faut disposer de toutes les options pour que le Touratech concurrence en volume le SW Motech et là, la note est vraiment très salée.
Dans la configuration essayée le Travel Bag, grimpe à 569,64 € quand le Speedpack, offre le même service pour 299 € ce qui n’est déjà pas rien.